Blotti entre les rangées de vignes, Vœgtlinshoffen est jalonné de caves accueillantes au fleurissement impressionnant. Le panorama y est exceptionnel, entre Forêt-Noire à l’est, et chaîne des Alpes au sud.

Situé à environ 10 kilomètres au sud-ouest de Colmar, le petit village traditionnel de Vœgtlinshoffen s’étend sur un coteau au milieu du vignoble alsacien.  Le village est jalonné de caves accueillantes au fleurissement impressionnant, qui font de Vœgtlinshoffen un endroit rempli de calme et de tranquillité.

Les vignerons de Vœgtlinshoffen sont fiers de travailler le Grand Cru du « Hatschbourg » et toute la palette des vins d’Alsace de grande qualité. Leur renommée n’est pas due au hasard, puisqu’au XIIIème siècle déjà, les Augustins de Marbach, Abbaye voisine du village, vantaient les vins en provenance du vignoble monastique de Vœgtlinshoffen.

Véritable emblème du village, le « Rabseppela » est un petit bonhomme sculpté, tenant et admirant dans sa main une grappe de raisin. Cette statuette trône sur la magnifique fontaine octogonale du XVIIIème siècle.

Prenez le temps d’admirer l’Alsace depuis les hauteurs de ce village au charme discret et partagez un moment avec des femmes et des hommes amoureux de leur terroir.

Au cœur du vignoble, à plus de 300 mètres d’altitude, découvrez le Belvédère Cattin : un bar à vins panoramique, unique en Alsace, et dégustez les Vins et Crémants d’Alsace agrémentés de planchettes de produits du terroir.

Vous pouvez également visiter la cave Cattin et découvrir les secrets de l’élaboration des Vins et Crémants d’Alsace de la Maison Cattin à travers une visite guidée expliquant toutes les étapes de la vinification.

Les plus aventuriers pourront se rendre à l’Abbaye de Marbach, créé en 1089 par le Chevalier Burckard de Gueberschwihr ; puis se diriger vers la promenade de la roseraie pour apprécier une déambulation dans les vignes et admirer les nombreuses variétés de roses cultivées au bout des rangées. Ces plantations n’ont pas qu’un but esthétique : la rose, très sensible à l’oïdium et aux pucerons, indiquait au vigneron qu’il devait traiter ses pieds de vigne à une époque où l’agronomie et la météorologie ne disposaient pas de toutes les données utilisées de nos jours. Les roses de couleurs vives servaient également de repère au travail du labour, pour éviter que le cheval n’arrache un pied ou un piquet en effectuant un virage trop court.